Côté théorie, Socrate définit le coaching comme un accompagnement personnalisé cherchant à améliorer les compétences et la performance d’un individu ou d’un groupe, le coaching est l’art d’aider une personne à trouver ses propres solutions.
Côté pratique, demandez moi 😉
Encore une peu de théorie… :
Définition du coaching par ICF
Qu’est ce que le coaching ?
ICF définit le coaching comme une alliance entre le coach et ses clients dans un processus qui suscite chez eux réflexion et créativité afin de maximiser leur potentiel personnel et professionnel.
Pour accompagner l’évolution d’une personne, d’une équipe ou d’une organisation, le coach s’appuie sur l’art de la relation qui permet d’entrer en interaction avec quelqu’un d’une façon telle qu’il réalise les projets qu’il choisit de mettre en œuvre en transformant, si c’est pertinent, ses attitudes et ses compétences.
Les Différentes modalités de coaching professionnel
Le coaching individuel : coaching de Dirigeants de managers, de chefs de projet, de leader de transformation…
Le coaching collectif : équipe opérationnelle, équipe métiers ou équipe transverse
Le coaching d’organisation se situe au croisement de plusieurs positionnements :
- Coaching de l’ensemble de l’écosystème de son client avec la création d’un COPIL tout au long de la démarche
- Coaching collectif : de l’équipe dirigeante, des équipes Métiers, des équipes projets d’innovation.
- Coaching des Leaders et des Acteurs de la transformation interne et externe.
Les objectifs du coaching individuel
Donner à son entreprise une orientation pertinente, choisir ses alliés et définir les structures ad hoc.
Mettre en place une délégation réussie qui permette de se concentrer sur les missions fondamentales.
Animer son équipe avec le maximum d’efficacité et d’enthousiasme.
Concilier ses obligations professionnelles et personnelles.
Exercer ses responsabilités avec plus d’efficacité.
Faire face à des évolutions plus ou moins importantes de son environnement.
Rétablir une situation managériale difficile.
Réorienter sa carrière.
Identifier ses enjeux et être performant plus rapidement dans sa prise en main d’un nouveau poste.
D’où vient le mot coaching ?
Le terme coach est anglais mais il est tiré du mot français cocher. Lequel provient du hongrois Kocsis. Le cocher est celui qui conduit des voyageurs d’un point à un autre.
Notons que le cocher ne choisit ni ses passagers ni la destination de ces derniers. Son intervention consiste uniquement à aider les voyageurs qui le désirent à atteindre la destination qu’ils se sont fixés. Et l’on retrouve la philosophie du coaching dans l’étymologie du mot …
Le terme a donc déjà traversé l’Atlantique une fois et il nous revient maintenant sous sa forme américaine. Il n’est pas toujours facile de traduire littéralement un mot. Pour le verbe “ to coach ”, on retrouve les notions de préparer, motiver, accompagner voire entraîner (à ne pas confondre avec le verbe “ to train ” qui signifie former).
A propos des origines des mots, un autre mot qui comme COACHING n’est pas traduit dans le langage courant de l’entreprise, il s’agit de MANAGEMENT (issu du vieux mot français « manège ») : art de conduire son activité avec la même maîtrise et efficacité que la dextérité du cavalier menant son cheval.
Quelle est l’étymologie du mot « coach » ?
En français, le nom masculin « coche », était une « grande voiture tirée par des chevaux, qui servait au transport des voyageurs » (Petit Robert).
En anglais, le mot « coach » a diverses résonances : stage coach (la diligence) ; mail coach (le fourgon postal) ; railway coach (le wagon).
Le conducteur de la diligence s’appelait le coche ou le « coachman ».
Ainsi le terme de « coach » peut être associé à la notion de direction, de sens, d’accompagnement d’un point à un autre.
Dans son acception moderne, le « coach » est celui qui « guide » les individus et qui les « aide » à développer leur potentiel en les rendant autonomes pour faciliter le changement.
Socrate, précurseur du coaching ?
L’accompagnement d’un homme par un autre homme est un exercice ancien. C’est en prenant conscience de cet héritage que nous pouvons lui donner du sens et de la valeur aujourd’hui. Trop souvent les références sportives et artistiques sont perçues comme les racines du coaching, alors qu’elles résultent elles-mêmes de traditions plus anciennes d’accompagnement.
Socrate, fils de sage-femme, né en 470 av JC à Athènes, est un des précurseurs du coaching. Tout au long de son existence, il s’était donné pour mission d’empêcher les Athéniens d’évoluer dans l’existence sans se poser de questions. Ce n’était jamais Socrate qui désignait les freins ou les incohérences du coaché, mais l’intéressé qui les découvrait dans ses propres réponses.
La maïeutique ou l’art d’accoucher les esprits ?
Le dialogue socratique est une recherche à deux de la vérité. Le coach devient un « éveilleur » de conscience.
C’est cet échange de sons, de mots, de signifiants et de signifiés qui finit par faire sens pour le coaché. La parole devient « le canal » par lequel circule la transformation et donc le changement.
Le coaching crée du sens et permet au coaché de raconter une histoire puissante.
« Traitez les gens comme s’ils étaient ce qu’ils devraient être et vous les aiderez ainsi à devenir ce qu’ils sont », Goethe
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